Méditer la Parole

 

Retrouvez les homélies des frères de Jérusalem des dimanches et des fêtes pour vous aider à mieux comprendre et goûter la Parole de Dieu

Une grande surprise

Une grande surprise

Le Christ dit à la mort : désormais, c’est moi qui fixe les limites pour toi, pas toi à moi. Je suis ressuscité en tant que juge des grandes et des petites souffrances humaines et je dis : voici la limite ! Désormais, l’homme m’appartient ! Les grandes et les petites souffrances sont désormais divisées intérieurement. Elles ne sont plus absolues. En chacune d’elles la bonne parole de Jésus ressuscité retenti : Adam, toi, la boue de la terre, toi le souffrant sans espoir, tu es à moi !

Tu étais là quand mon Seigneur a été crucifié

Tu étais là quand mon Seigneur a été crucifié

Peu à peu on lui ôtera la voix, inutile face au sourde entêtement des accusateurs et l’arrogante superbe des juges. Il faut que s’accomplisse ce texte de l’Écriture : Il a été compté avec les impies. Ils lui avaient voilé le visage.

Quand jaillit l’eau qui donne la Vie

Quand jaillit l’eau qui donne la Vie

Là tu dis vrai, disait Jésus à la femme. De par la vérité sur ta vie, ta vie cassée peut-être, mais creusée d’un désir profond, tu peux devenir adoratrice du Père, tu peux entrer dans le flot de son Amour, entrer dans la relation qui ne te décevra pas. Mais on n’accède pas à la vérité sur soi sans Jésus : Jésus est le lieu où nous pouvons accéder à la vérité sur nous et devenir les adorateurs que le Père recherche.

De la tentation à la Transfiguration

De la tentation à la Transfiguration

Pendant 40 jours, Jésus a prié dans le jeûne et la solitude au désert. Sur la montagne, aujourd’hui, sa prière se fait lumineuse et glorieuse. Aux trois paroles du Tentateur pour éprouver la filiation divine de Jésus répondent aujourd’hui trois paroles qui en déploient tout le mystère.

Les tentations

Les tentations

Le désert : lieu vide et délaissé, région quasi inhabitée, sorte de garrigue inculte ; voilà un endroit unique pour changer de vie. Le lieu évoqué aujourd’hui est vraisemblablement le désert de Juda, situé le long de la Mer Morte, dans la vallée méridionale du Jourdain, au point le plus bas de la terre. Et c’est justement là que Jésus subit jeune et tentation.

Miséricorde contre violence

Miséricorde contre violence

Avec Dieu comme partenaire, nos relations peuvent même aller jusqu’à l’amour inconditionnel. Certes, nous ne sommes pas capable de donner sans rien recevoir. Mais dans la mesure où nous recevons tout du Seigneur, nous pouvons alors donner à notre prochain sans recevoir de lui. C’est pourquoi Jésus instaure ce qu’on peut appeler le principe de triangulation : nous donnons sans retour à notre frère ou même à notre ennemi, et ce que nous avons besoin de recevoir, c’est de Dieu que nous l’attendons.

Tout mais pas la totalité

Tout mais pas la totalité

Jésus doit apprendre à ses disciples la vérité dont il vit lui-même : il ne s’agit pas d’abord de conserver le peu de vie qu’on a contre la mort mais d’aller de la vie à la vie à travers la mort. En effet, la vie ne constitue pas le contraire de la mort, elle en est la traversée permanente.

Regagner confiance en la Parole

Regagner confiance en la Parole

La voix de Dieu n’est jamais sortie de notre cœur profond et l’appel, la promesse divine sont toujours valables. Dieu a choisi de guérir nos cœurs. Et cette guérison passe par une confiance retrouvée en sa parole. C’est pourquoi Dieu appelle les hérauts de sa parole, les prophètes, les anges et les apôtres, c’est pourquoi Dieu essaie de nous convaincre que les portes de son cœur, bien que gardées par des anges de feu, sont toujours ouvertes.

Dans la chair manifesté

Dans la chair manifesté

En Jésus, vrai homme et vrai Dieu, l’humanité grandit en même temps que la grâce. Ne devrait-on pas dire que la grâce se déploie à la mesure de son humanité, dans sa chair ? Désormais, l’humanité de Jésus, dans sa vulnérabilité et son extrême pauvreté, est le lieu de la Présence : il est le Temple nouveau. La chair est le lieu de la manifestation : c’est dans la chair que Dieu se laisse rencontrer.

L’intranquillité, chemin vers Dieu

L’intranquillité, chemin vers Dieu

Ouvrons notre cœur à la saine inquiétude, demandons le courage pour avancer sur le chemin et finissons dans l’adoration ! C’est le parcours des Mages, c’est le parcours de tous les saints de l’histoire.

Pèlerins de l’espérance

Pèlerins de l’espérance

Rien n’est perdu en ce jour où Jésus lui-même semblait d’être perdu pour ses parents ! Comme eux, nous aussi nous gardons dans nos cœurs les événements heureux et malheureux de notre vie, parfois les comprenant seulement de longues années après. Mais le plus important est que Dieu lui-même les garde tous dans sa mémoire divine, tous ces événements dans son cœur. Un vrai temple, le cœur de Dieu, sa présence, sa Parole, sa puissance que Jésus nous indique aujourd’hui. Nous sommes invités, chers frères et sœurs, comme Jésus, Marie et Joseph à vivre et à marcher en pèlerins de l’espérance, et spes non confundit, l’espérance ne déçoit pas.

Vivre aujourd’hui en hommes sauvés

Vivre aujourd’hui en hommes sauvés

Dieu ne nous sauve pas «de» notre chair. Il nous sauve «dans» notre chair. Le salut, c’est l’homme visité, relevé, recréé, glorifié. S’il est important pour nous de faire mémoire de la naissance de notre Sauveur, c’est pour nous rappeler que le salut est permanent. C’est maintenant que Dieu nous sauve. Le Verbe s’est fait chair. Dieu a aboli par l’incarnation du Verbe la barrière qui séparait le divin de l’humain.

Tout mais pas la totalité

Tout mais pas la totalité

Jésus doit apprendre à ses disciples la vérité dont il vit lui-même : il ne s’agit pas d’abord de conserver le peu de vie qu’on a contre la mort mais d’aller de la vie à la vie à travers la mort. En effet, la vie ne constitue pas le contraire de la mort, elle en est la traversée permanente.

Regagner confiance en la Parole

Regagner confiance en la Parole

La voix de Dieu n’est jamais sortie de notre cœur profond et l’appel, la promesse divine sont toujours valables. Dieu a choisi de guérir nos cœurs. Et cette guérison passe par une confiance retrouvée en sa parole. C’est pourquoi Dieu appelle les hérauts de sa parole, les prophètes, les anges et les apôtres, c’est pourquoi Dieu essaie de nous convaincre que les portes de son cœur, bien que gardées par des anges de feu, sont toujours ouvertes.

Dans la chair manifesté

Dans la chair manifesté

En Jésus, vrai homme et vrai Dieu, l’humanité grandit en même temps que la grâce. Ne devrait-on pas dire que la grâce se déploie à la mesure de son humanité, dans sa chair ? Désormais, l’humanité de Jésus, dans sa vulnérabilité et son extrême pauvreté, est le lieu de la Présence : il est le Temple nouveau. La chair est le lieu de la manifestation : c’est dans la chair que Dieu se laisse rencontrer.

L’intranquillité, chemin vers Dieu

L’intranquillité, chemin vers Dieu

Ouvrons notre cœur à la saine inquiétude, demandons le courage pour avancer sur le chemin et finissons dans l’adoration ! C’est le parcours des Mages, c’est le parcours de tous les saints de l’histoire.

Pèlerins de l’espérance

Pèlerins de l’espérance

Rien n’est perdu en ce jour où Jésus lui-même semblait d’être perdu pour ses parents ! Comme eux, nous aussi nous gardons dans nos cœurs les événements heureux et malheureux de notre vie, parfois les comprenant seulement de longues années après. Mais le plus important est que Dieu lui-même les garde tous dans sa mémoire divine, tous ces événements dans son cœur. Un vrai temple, le cœur de Dieu, sa présence, sa Parole, sa puissance que Jésus nous indique aujourd’hui. Nous sommes invités, chers frères et sœurs, comme Jésus, Marie et Joseph à vivre et à marcher en pèlerins de l’espérance, et spes non confundit, l’espérance ne déçoit pas.

Vivre aujourd’hui en hommes sauvés

Vivre aujourd’hui en hommes sauvés

Dieu ne nous sauve pas «de» notre chair. Il nous sauve «dans» notre chair. Le salut, c’est l’homme visité, relevé, recréé, glorifié. S’il est important pour nous de faire mémoire de la naissance de notre Sauveur, c’est pour nous rappeler que le salut est permanent. C’est maintenant que Dieu nous sauve. Le Verbe s’est fait chair. Dieu a aboli par l’incarnation du Verbe la barrière qui séparait le divin de l’humain.

Rencontre avec un Mendiant

Rencontre avec un Mendiant

Est-ce la naissance de l’Homme ? Mais les hommes naissent depuis des millions d’années,
l’homme n’en finit pas de naître, de naître encore et encore, sans arriver pourtant à émerger à la vie, sans pouvoir trouver la liberté de vivre debout et en paix. Est-ce la naissance de Dieu, alors ? Mais Dieu est de toujours à toujours. Lui n’a pas besoin de naître : il est, un point c’est tout. Ne serait-ce pas la naissance d’une rencontre, plutôt ? Une rencontre entre l’Homme et Dieu, une rencontre inédite et qui change le cours du monde ?

Être dans la joie – Gaudete

Être dans la joie – Gaudete

Nous avons tous, chers frères et sœurs, passé par ce baptême du feu. Notre baptême est trinitaire, c’est une plongée définitive dans la vie de Dieu, dans l’amour de Dieu, la meilleure vie qui puisse être vécue. Et cela gratuitement ! En effet, quand on baptise les enfants, on ne leur impose rien, on les dépose entre les mains du Christ, de l’Esprit Saint et du Père. Par notre baptême et par notre vie chrétienne nous nous désapproprions de notre vie terrestre et nous l’abandonnons en Dieu.

Ouvrir à Jésus un chemin

Ouvrir à Jésus un chemin

La clef de la joie de Noël, elle est dans notre cœur, dans notre désir profond d’ouvrir à Jésus un chemin pour qu’il vienne en nous.