L’eucharistie, en actualisant la mort du Christ, rend présent, la mort de ceux qui nous ont quittés. Alors que nous ne pouvions les accompagner dans leur propre mort, l’eucharistie nous permet de leur être présents dans la mort même.

Retrouvez les homélies des frères de Jérusalem des dimanches et des fêtes pour vous aider à mieux comprendre et goûter la Parole de Dieu
L’eucharistie, en actualisant la mort du Christ, rend présent, la mort de ceux qui nous ont quittés. Alors que nous ne pouvions les accompagner dans leur propre mort, l’eucharistie nous permet de leur être présents dans la mort même.
la prière n’a de sens que dynamique, elle ne peut pas viser l’installation ; elle est au contraire ce qui fait tomber les murailles, ce qui remet en route, ce qui permet de suivre Jésus sur le chemin.
Les époux reçoivent donc une mission : ils sont chargés de révéler quelqu’un qui les dépasse par tous les bouts ! Révéler le mystère de Dieu à partir d’une humanité blessée et si limitée…
Dieu nous est plus proche maintenant que pour ceux qui ont côtoyé Jésus sur cette terre…
Ma vie ne deviendrait-elle pas autre si je voyais tout ce qui sort de mes mains comme l’extraordinaire de Dieu ? La vie trouve sa pleine mesure quand elle déborde de la grâce du Ressuscité.
La foi, ce n’est pas croire que Dieu existe. Les démons aussi le croient. La foi, c’est reconnaître Jésus vivant en nous.
Ce soir, de cet autel, l’Eucharistie va déborder vers chacun de vous, s’emparer de votre chair et la ramener dans le Corps du Christ. Jésus vit le mouvement eucharistique en chacun de nos vies.
En ce jour, la liturgie nous rappelle que le Seigneur fait de nous ses fils et ses filles, des frères et des sœurs, et nous invite aujourd’hui à éviter deux écueils : le désir d’une fausse liberté, et le désir d’une fausse sécurité.
Homélie de fr Benedikt
XXVe dimanche du TO
Eglise Saint-Jean, Strasbourg
Dieu veut sauver l’humanité de cette violence destructrice.
La Bible montre en ce domaine une longue et patiente pédagogie divine.
La Parole de Dieu y propose un long chemin de guérison.
Imaginez un instant que l’on vous demande de jeter les filets… juste après une nuit de pêche infructueuse et avoir nettoyé et rangé vos filets…
La faiblesse et la vulnérabilité du prophète font partie de la prophétie elle-même. Elles sont voulues par Dieu car elles disent l’inimaginable : Dieu aimerait que l’homme l’aime.
Ce soir, de cet autel, l’Eucharistie va déborder vers chacun de vous, s’emparer de votre chair et la ramener dans le Corps du Christ. Jésus vit le mouvement eucharistique en chacun de nos vies.
En ce jour, la liturgie nous rappelle que le Seigneur fait de nous ses fils et ses filles, des frères et des sœurs, et nous invite aujourd’hui à éviter deux écueils : le désir d’une fausse liberté, et le désir d’une fausse sécurité.
Homélie de fr Benedikt
XXVe dimanche du TO
Eglise Saint-Jean, Strasbourg
Dieu veut sauver l’humanité de cette violence destructrice.
La Bible montre en ce domaine une longue et patiente pédagogie divine.
La Parole de Dieu y propose un long chemin de guérison.
Imaginez un instant que l’on vous demande de jeter les filets… juste après une nuit de pêche infructueuse et avoir nettoyé et rangé vos filets…
La faiblesse et la vulnérabilité du prophète font partie de la prophétie elle-même. Elles sont voulues par Dieu car elles disent l’inimaginable : Dieu aimerait que l’homme l’aime.
Que nous apprend Marie ? À regarder, à prier et à croire.
Alors que le grand Moïse lui-même n’avait pu voir la face de Dieu, Marie a vu la face de Dieu dans le visage de cet enfant nouveau-né, dans le visage de son petit enfant. Dieu s’est fait proche d’elle jusqu’à pouvoir être touché, bercé, embrassé.
Jésus ajoute précisément : « ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. » Ainsi il y aurait deux manières de donner la paix. Qu’est-ce à dire ?