Magnifie, ô mon âme, la très précieuse Croix du Seigneur, Mère de Dieu, tu es l’image du paradis, toi qui sans semailles ni labours as fait germer le Christ par qui la sainte Croix, le nouvel Arbre de vie, fut plantée sur la terre

Retrouvez les homélies des frères de Jérusalem des dimanches et des fêtes pour vous aider à mieux comprendre et goûter la Parole de Dieu
Magnifie, ô mon âme, la très précieuse Croix du Seigneur, Mère de Dieu, tu es l’image du paradis, toi qui sans semailles ni labours as fait germer le Christ par qui la sainte Croix, le nouvel Arbre de vie, fut plantée sur la terre
Les gestes de Jésus n’évoquent-ils pas la figure du Seigneur s’impliquant de ses mains, tel un potier, dans sa création pour modeler Adam (Gn 2,7) ?
Marc ne parle nulle part de Joseph, contrairement aux autres évangélistes. Cette « patrie » sans « père » apparaît comme une révélation en creux, une omission décisive : l’évangile doit nous conduire à un autre père, le Père du ciel.
Alors que le grand Moïse lui-même n’avait pu voir la face de Dieu, Marie a vu la face de Dieu dans le visage de cet enfant nouveau-né, dans le visage de son petit enfant. Dieu s’est fait proche d’elle jusqu’à pouvoir être touché, bercé, embrassé.
Jésus ajoute précisément : « ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. » Ainsi il y aurait deux manières de donner la paix. Qu’est-ce à dire ?
Il est tout de même étonnant de choisir un tel texte pour célébrer la sainte famille ! Est-ce pour montrer que toute famille a son lot de difficulté à gérer ?
…et quand Dieu parle de la joie, il en parle comme nul autre. Comme nous l’avons entendu de la bouche du prophète Sophonie : « Dieu est en nous la joie ! » Voilà qui change tout !
Jusqu’à Jésus, le temps s’écoulait en convergeant vers Lui. Mais désormais, le temps n’est plus qu’un déploiement de la venue de Jésus dans notre propre histoire. Certes le temps continue à progresser, mais à partir de Jésus.
En voyant ce tableau monumental, ce jeune s’est demandé : qui est cet homme en blanc ? qui est Jésus ? Oui, Jésus est venu instaurer un royaume étonnant, détonant, dérangeant.
La liturgie de ce dimanche tourne nos regards vers les fins dernières.
Elle nous interroge sur l’espérance qui habite notre cœur.
Écouter, nous le savons, n’est pas une mince affaire. Quel conjoint ne s’est pas déjà entendu dire : « Chéri(e), tu m’écoutes ?… » et d’ajouter, non sans malice, après un « oui, oui » évasif : « alors répète ce que je viens de dire !!! »
C’est peut-être pour cette raison que le premier commandement commence par : « Écoute Israël »…
L’aveugle attendait Jésus au bord du chemin. Son nom est Bartimée, ce qui signifie «fils de la gloire». Jésus est descendu du ciel pour que les Bartimée que nous sommes soient de nouveau revêtus de la gloire de Dieu.
…et quand Dieu parle de la joie, il en parle comme nul autre. Comme nous l’avons entendu de la bouche du prophète Sophonie : « Dieu est en nous la joie ! » Voilà qui change tout !
Jusqu’à Jésus, le temps s’écoulait en convergeant vers Lui. Mais désormais, le temps n’est plus qu’un déploiement de la venue de Jésus dans notre propre histoire. Certes le temps continue à progresser, mais à partir de Jésus.
En voyant ce tableau monumental, ce jeune s’est demandé : qui est cet homme en blanc ? qui est Jésus ? Oui, Jésus est venu instaurer un royaume étonnant, détonant, dérangeant.
La liturgie de ce dimanche tourne nos regards vers les fins dernières.
Elle nous interroge sur l’espérance qui habite notre cœur.
Écouter, nous le savons, n’est pas une mince affaire. Quel conjoint ne s’est pas déjà entendu dire : « Chéri(e), tu m’écoutes ?… » et d’ajouter, non sans malice, après un « oui, oui » évasif : « alors répète ce que je viens de dire !!! »
C’est peut-être pour cette raison que le premier commandement commence par : « Écoute Israël »…
L’aveugle attendait Jésus au bord du chemin. Son nom est Bartimée, ce qui signifie «fils de la gloire». Jésus est descendu du ciel pour que les Bartimée que nous sommes soient de nouveau revêtus de la gloire de Dieu.
Comment en est-on arrivé à travestir l’œuvre de Dieu au sein de l’Eglise en touchant à ce qu’il y a de plus sacré, la vie d’un enfant ? Devant l’effroyable, on reste sans voix. Il n’y a plus que les larmes et la honte au visage.
Je pense que beaucoup d’entre nous, enfants, se sont amusés à prendre une marguerite et à enlever les pétales un à un en disant : « Je t’aime un peu… beaucoup… passionnément… à la folie… pas tout ! »
« Qui suis-je ? » Voilà une question redoutable pour celui qui tente d’y apporter une réponse personnelle. Sans doute, nous sommes nous tous déjà demandé : « au fond, qui suis-je ? » ? Et si nous avons eu le cran de nous arrêter sur cette question, quelle fut la réponse ?…