Ouvrons notre cœur à la saine inquiétude, demandons le courage pour avancer sur le chemin et finissons dans l’adoration ! C’est le parcours des Mages, c’est le parcours de tous les saints de l’histoire.

Retrouvez les homélies des frères de Jérusalem des dimanches et des fêtes pour vous aider à mieux comprendre et goûter la Parole de Dieu
Ouvrons notre cœur à la saine inquiétude, demandons le courage pour avancer sur le chemin et finissons dans l’adoration ! C’est le parcours des Mages, c’est le parcours de tous les saints de l’histoire.
Rien n’est perdu en ce jour où Jésus lui-même semblait d’être perdu pour ses parents ! Comme eux, nous aussi nous gardons dans nos cœurs les événements heureux et malheureux de notre vie, parfois les comprenant seulement de longues années après. Mais le plus important est que Dieu lui-même les garde tous dans sa mémoire divine, tous ces événements dans son cœur. Un vrai temple, le cœur de Dieu, sa présence, sa Parole, sa puissance que Jésus nous indique aujourd’hui. Nous sommes invités, chers frères et sœurs, comme Jésus, Marie et Joseph à vivre et à marcher en pèlerins de l’espérance, et spes non confundit, l’espérance ne déçoit pas.
Dieu ne nous sauve pas «de» notre chair. Il nous sauve «dans» notre chair. Le salut, c’est l’homme visité, relevé, recréé, glorifié. S’il est important pour nous de faire mémoire de la naissance de notre Sauveur, c’est pour nous rappeler que le salut est permanent. C’est maintenant que Dieu nous sauve. Le Verbe s’est fait chair. Dieu a aboli par l’incarnation du Verbe la barrière qui séparait le divin de l’humain.
Je ne suis pas née dans une famille idéale, mais dans une famille belle, oui. Trop belle même ! Jésus pourrait nous dire aujourd’hui, en cette fête de la Sainte Famille, que même si nos familles ne sont pas parfaites, elles peuvent être belles et saintes.
Ce qui est neuf sollicite, pour être reconnu, notre puissance d’aimer. En aimant, nous reconnaissons et nous sommes reconnus. En aimant, nous accueillons l’autre dans sa vérité et nous sommes en même temps dévoilés.
Se convertir, c’est commencer, introduire de la nouveauté dans l’existence, trouver les mots qui nous sortent des discours tout faits, qui transforment l’indifférence en amour. Se convertir, c’est changer la vie. Se convertir, c’est commencer.
Cette lampe libère la chaleur et la lumière : c’est-à-dire l’amour auquel nous ne saurions renoncer. Nous les gardons précieusement dans tous les actes quotidiens que l’amour implique.
Jésus s’adresse aux foules et aux disciples. Il leurs parlent des scribes et des pharisiens en des termes particulièrement virulents. Quel est le message de Jésus ? Nous connaissons suffisamment le Seigneur pour nous douter qu’il ne s’agit pas d’une simple critique....
Les Béatitudes décrivent les attitudes humaines qui attirent l’action du Saint-Esprit et qui ajustent l’homme à la volonté de Dieu.
Avec délicatesse et comme en parabole, Jésus désigne à ses interlocuteurs celui qui peut les sauver. C’est lui, Jésus, celui qu’ils veulent accuser et condamner, lui qui est, en personne, la parfaite image du Père. L’effigie qui est à contempler, c’est lui.
Le Royaume est un lieu de gratuité et de vie. La durée ne compte plus dans l’éternité. C’est l’intensité du don de nous-mêmes qui importe. Dans le Royaume, l’homme naît à la vérité de son être qui est d’être totalement donné à l’autre.
L’objectif, selon Jésus, est bien de gagner son frère, c’est à dire de tout faire pour qu’il reste mon frère et notre frère. Il ne s’agit donc pas de régler ses comptes en cherchant à écraser ou à défendre un principe, mais bien, avant tout, de retrouver la relation. Pour autant l’authenticité de la relation fraternelle va nécessiter la vérité, il faudra le courage de faire la lumière.
Cette lampe libère la chaleur et la lumière : c’est-à-dire l’amour auquel nous ne saurions renoncer. Nous les gardons précieusement dans tous les actes quotidiens que l’amour implique.
Jésus s’adresse aux foules et aux disciples. Il leurs parlent des scribes et des pharisiens en des termes particulièrement virulents. Quel est le message de Jésus ? Nous connaissons suffisamment le Seigneur pour nous douter qu’il ne s’agit pas d’une simple critique....
Les Béatitudes décrivent les attitudes humaines qui attirent l’action du Saint-Esprit et qui ajustent l’homme à la volonté de Dieu.
Avec délicatesse et comme en parabole, Jésus désigne à ses interlocuteurs celui qui peut les sauver. C’est lui, Jésus, celui qu’ils veulent accuser et condamner, lui qui est, en personne, la parfaite image du Père. L’effigie qui est à contempler, c’est lui.
Le Royaume est un lieu de gratuité et de vie. La durée ne compte plus dans l’éternité. C’est l’intensité du don de nous-mêmes qui importe. Dans le Royaume, l’homme naît à la vérité de son être qui est d’être totalement donné à l’autre.
L’objectif, selon Jésus, est bien de gagner son frère, c’est à dire de tout faire pour qu’il reste mon frère et notre frère. Il ne s’agit donc pas de régler ses comptes en cherchant à écraser ou à défendre un principe, mais bien, avant tout, de retrouver la relation. Pour autant l’authenticité de la relation fraternelle va nécessiter la vérité, il faudra le courage de faire la lumière.
Nous sommes tous les prêtres de l’Alliance Nouvelle. Il s’agit de mettre en communion avec Dieu non seulement une partie de notre temps, une partie de notre vie, lui réserver non seulement un lieu particulier, comme une église, ou lui réserver certaines personnes, mais lui offrir, unie au Christ, toute notre vie.
Aujourd’hui encore, la présence du Christ dans son Église ne peut pas être triomphante : l’évangile est une lumière puissante, mais sa puissance n’est perceptible que pour ceux qui reçoivent cette Parole avec humilité
et profondeur.
Ce que nous lisons en ouvrant notre Bible, ce n’est pas une parole sur Dieu, c’est la Parole de Dieu. Seul Dieu peut nous parler de lui-même. La Sainte Écriture n’est donc pas un livre, c’est le sacrement de la Parole de Dieu.