La clef de la joie de Noël, elle est dans notre cœur, dans notre désir profond d’ouvrir à Jésus un chemin pour qu’il vienne en nous.

Retrouvez les homélies des frères de Jérusalem des dimanches et des fêtes pour vous aider à mieux comprendre et goûter la Parole de Dieu
La clef de la joie de Noël, elle est dans notre cœur, dans notre désir profond d’ouvrir à Jésus un chemin pour qu’il vienne en nous.
Pourquoi demander de se réveiller ? Dans la bible, le sommeil est associé à la mort.
Du coup, quand le nouveau testament parlera de la résurrection de Jésus, il dira qu’il s’est réveillé d’entre les mort. Le sommeil est aussi ce moment où on n’a pas prise sur nos rêveries et nos fantasmes. On vit alors en dehors des réalités, en dehors des relations vraies. Tout en nous est centré sur notre passé, et nous voyons la vie selon la fertilité de notre imagination plutôt que par l’exigence du don de soi, c’est-à-dire selon l’amour authentique.
Revenons chers frères et sœurs au Golgotha où notre Roi ouvre devant nous son Cœur. Il l’ouvre devant l’Univers entier, il peut y contenir l’Univers entier. Voilà sa royauté. En nous abreuvant de cet amour, dit encore le Pape, nous devenons capables de tisser des liens fraternels, de reconnaître la dignité de tout être humain et de prendre soin ensemble de notre maison commune.
La route du carême est une route de lumière, de simplification. On n’a pas peur d’y descendre dans la nuit, car on porte en soi cette boussole : Jésus crucifié et Jésus glorieux.
Qu’est-ce que le péché ? La Parole de Dieu montre que la tentation se situe, en premier, sur le plan de la relation à Dieu. Comment résister à la tentation ? Regardons comment Jésus lui-même déjoue le mensonge et ouvre un chemin de liberté.
La sainteté, la plénitude de la vie chrétienne ne consiste pas à accomplir des entreprises extraordinaires, mais à s’unir au Christ, à vivre ses mystères, à faire nôtres ses attitudes, ses pensées, ses comportements
Qu’est-ce que Dieu attend de nous ? Ne vous êtes-vous jamais posé cette question ? Comment vivre pour faire la volonté de Dieu ? Que dois-je faire, et comment dois-je le faire ? Les textes d’aujourd’hui veulent répondre à ces questions. Ou au moins nous orienter dans...
Le regard de Jésus n’est pas le nôtre. Jésus voit une espérance dans toute situation qui paraît à vue humaine totalement désespérée.
En cette nuit, Jésus est né, en ce matin, c’est à nous de naître par la foi. Il y eut un soir, il y eut un matin.
L’humain n’est pas sa propre source, il n’est pas son terroir originel. Porter du fruit suppose de recevoir d’un autre. Et cet autre pour l’être humain, c’est Dieu. Le fruit de la créature humaine se reçoit de sa relation à son Créateur.
Quand donc Jésus recourt à des images assez terrifiantes, ce n’est pas pour nous faire peur, mais pour nous dire : tout passe !!! Seule ma grâce dure. Seul mon Royaume tient ferme. Seule ma miséricorde éternise.
Être un saint, cela ne consiste pas à sculpter sa statue mais tout simplement à désirer Dieu, sans rien perdre de ses qualités humaines mais au contraire en étant d’autant plus humain qu’on est saint !
Qu’est-ce que Dieu attend de nous ? Ne vous êtes-vous jamais posé cette question ? Comment vivre pour faire la volonté de Dieu ? Que dois-je faire, et comment dois-je le faire ? Les textes d’aujourd’hui veulent répondre à ces questions. Ou au moins nous orienter dans...
Le regard de Jésus n’est pas le nôtre. Jésus voit une espérance dans toute situation qui paraît à vue humaine totalement désespérée.
En cette nuit, Jésus est né, en ce matin, c’est à nous de naître par la foi. Il y eut un soir, il y eut un matin.
L’humain n’est pas sa propre source, il n’est pas son terroir originel. Porter du fruit suppose de recevoir d’un autre. Et cet autre pour l’être humain, c’est Dieu. Le fruit de la créature humaine se reçoit de sa relation à son Créateur.
Quand donc Jésus recourt à des images assez terrifiantes, ce n’est pas pour nous faire peur, mais pour nous dire : tout passe !!! Seule ma grâce dure. Seul mon Royaume tient ferme. Seule ma miséricorde éternise.
Être un saint, cela ne consiste pas à sculpter sa statue mais tout simplement à désirer Dieu, sans rien perdre de ses qualités humaines mais au contraire en étant d’autant plus humain qu’on est saint !
Chers amis, le publicain redescendit dans sa maison justifié. En effet, sa montée dans le Temple de Jérusalem était une descente progressive. Et moi, quand je vais prier, de qui suis-je le plus proche ?
Les routes de ce Samaritain et de Jésus se sont croisées. Une rencontre qui a été échange de vie. L’un s’est déchargé de sa croix sur l’autre. L’un a donné sa vie pour l’autre. Le lépreux s’ouvre à la vie. Jésus consent à la mort.
Assomption. Qu’est-ce à dire ? Cela signifie qu’au moment de sa mort, la vierge Marie a été prise dans le mystère de la résurrection du Christ. Elle a vaincu la mort comme son Fils, et elle triomphe dans la gloire céleste dans la totalité de son être, « corps et âme ».